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dimanche, novembre 01, 2020

Yes (Version Steve Howe) : Live from Las Vegas


 Premier post sur Yes sur nos pages...ça sent pas la nouveauté !

Je ne suis pas vraiment fan de Yes, je ne me jette pas sur tout ce qui sort et heureusement d'ailleurs ou y'a longtemps que j'aurais vendu la maison et même les meubles. Cette église prog compte tellement de chapelles que même un trotskiste  - j'ai failli l'écrire avec un "y" en bon anti-communiste, peut-être primaire, mais, sûrement convaincu - ne s'y retrouverait pas...c'est pour dire !

Yes a 50 ans voire même un peu plus.
Ca commençait à se voir sur la photo, et là, ça commence à s'entendre.

C'est, en effet, une formation bien molle du genou qui nous présente ce témoignage d'une prestation datant de l'été 2019...c'est lent, c'est lourd et donc, ça en devient long.

J'ai vérifié tous les potars de mon installation, au cas où un héritier farceur avait profité de mon absence pour écouter un de mes disques...j'en ai un qui vise mes Black Sabbath période Dio - et bin non, tout était parfaitement en place..."ça vient d'eux!" comme disait  ma mère quand la TV commençait à se zébrer en tous sens et qu'elle implorait, de cette façon, l'Eternel afin qu'il ne soit pas utile de faire venir un réparateur.

Une belle vision, quand même, de l'extraordinaire catalogue que le groupe a construit au fil des années (période Rabin exclue!) avec deux covers dont une d' "Imagine" de John Lennon qui est de loin, la chanson que je déteste le plus au monde...un signe sans doute.

C'est finalement  Jon Davison, le remplaçant de l'autre Jon, qui s'en sort le mieux et qui traîne derrière lui ce qui n'est pas encore une ambulance, mais un transport d'une troupe qui semble bien fatiguée.

Quitte à investir dans un live de Yes, penchez-vous plutôt sur le "Live at The Apollo" de Yes (Version  Jon Anderson) sorti en 2018 et qui allie bien mieux l'Histoire à la modernité.

Ci-dessous, "Roundabout" par les deux équipes, supportez la vôtre...mon choix est fait.





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