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jeudi, mars 05, 2015

Uli Jon Roth





Avec toujours les mêmes allures kitsch en tenue vestimentaire à la SRV,  Uli Jon Roth nous revisite le répertoire du début des oeuvres de Scorpions, avant qu'il jette l'éponge et qu'il s'en aille flirter avec des compositions proches de Hendrix.
L'esthétique de sa " signature" guitare se discute, il n'empêche qu'il dégringole ses doigts sur ce manche comme pas un.
C'est sorti, je viens de me l'offrir, j'attends sa réception pour pousser mes potards de mon ampli.

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Deux fois que je passe chez mon disquaire favori (en fait, il en reste qu'un), et deux que j'hésite à me l'offrir.

Hard Round Tazieff a dit…

Je comprend pas tout, T'as 2 disquaires favoris, mais il en reste définitivement qu'un seul ? Ou t'as un disquaire favori mais il reste plus qu'un seul CD de Roth ? Et deux tu ne sais pas quoi faire ? L'acheter à ton premier disquaire, ou le second ? Sachant qu'il reste peut être plus qu'un seul exemplaire du CD ?

Anonyme a dit…

Naaannn.... Je n'ai qu'un seul disquaire favori. Et il s'avère que, malheureusement, depuis quelques temps il soit devenu le dernier résistant de sa catégorie. Tous les autres disquaires ont fini par fermer boutique (dont un avait placardé un petit pamphlet en "remerciement" du téléchargement). Il fut un temps où on devait parfois faire demi-tour devant la boutique, tant il y avait du monde qui s'y pressait.

Anonyme a dit…

Quant au Uli Jon Roth, j'adore toujours sa période Scorpions (à mon sens la meilleure des teutons), mais bien moins sa carrière solo, la piètre qualité de son chant grévant les chansons.

Toutefois, y a-t'il un réel intérêt à réaliser un album complet (double) uniquement sur le répertoire de Scorpions ? D'autant plus pour les personnes connaissant déjà ce riche matériel.
En bref, est-ce que ce double-CD apporte un plus, ou n'est-ce encore qu'un truc de marketing destiné aux "incultes" ?

Hard Round Tazieff a dit…

Je pense que l'intérêt se porte sur le fait qu'il "revisite" ces morceaux, donc déjà on subodore une approche différente du jeu, qui plus est, avec un vocal qui semble tenir la route.

Hard Round Tazieff a dit…

Un disquaire insulaire, ça doit couter la peau des fesses lors de tes achats non ?

Hard Round Tazieff a dit…

Reçu ce jour, écouté, gouté et approuvé !

Anonyme a dit…

Je me souviens d'un gars qui faisait le disquaire sur les foires et les marchés. Il était spécialisé dans le Rock des années 70, avec une très large préférence pour tout ce qui gravitait autour du Hard-Rock de cette décennie. Que du bonheur. Chaque été je le retrouvais et faisait un plein de rareté (avec en plus, une petite remise bienvenue). Jusqu'à ce qu'il m'annonce que c'était sa dernière année parce qu'il n'arrivait plus à s'aligner sur les prix du net, sans y être de sa poche.

Hard Round Tazieff a dit…

Tu as raison, il est si loin le temps ou l' on pouvait passer 1 ou 2 heures à fureter dans las bacs pour dénicher le vinyle import à pratiquement 100 tunes ( pour un double Lp en général ). La tirelire en prenait un sacré coup. Mais j'ai rarement vu un disquaire me conseiller à cette époque, je lisais plus les fanzines pour faire mon choix. Maintenant c'est pire ! j'ai la chance d'avoir la Fnac et Le Furet à Lille mais le peu de "vendeurs conseilleurs" n'ont aucune science ! Donc pour moi rien a changé, j'achète au feeling et par le net.

Anonyme a dit…

J'allais parfois à Nice où il y avait une super boutique : Hit Import.
Que du Rock ! Et du lourd ! En passant par le Blues et surtout toute la galaxie Heavy-Rock.
Et les gars étaient des passionnés. Dans les 80's, ils marchaient du feu de dieu et avaient une belle réputation méritée. Même des musiciens connus s'y rendaient parfois (avec photos souvenirs exposées fièrement, dont, pour les plus connus, de certains membres d'Iron Maiden).
On pouvait discuter un bon moment avec ces gars.
Et ici, dans la même période, c'était aussi des passionnés (avec chacun plus ou moins sa spécialité) qui pouvait te conseiller des trucs suivants tes affinités, ou les leurs.

Il arrive encore à "mon" résistant de me faire écouter des trucs.

My cat listening Steve Vai

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