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vendredi, juillet 04, 2014

Flight (1975) - Incredible Journey (1976)

Je ne m'en vais pas , je vole....


V'là presque les vacances, période propice à découvrir de nouveaux horizons , à s'aérer et à s'ouvrir l'esprit, et à passer des heures, le soir,  à discuter de tout et surtout de rien, de se presque fâcher à mort pour des raisons aussi futiles qu'importantes.
Tiens, le jazz, par exemple, on n'en parle presque jamais ici !
Heureusement, d'ailleurs, ça barderait tout de suite, tant je suis allergique à cette musique surtout quand elle se décline dans ses formes les plus traditionnelles.
Mais voilà, pour les incultes comme moi, de malins pédagogues ont inventé le jazz rock.
J'sais pas trop bien ce que cela veut dire, mais comme ça, ça passe mieux quand même.


Soyez rassurés, je ne vais pas me lancer dans une dissertation sur le sujet, bien incapable de développer un plan (introduction, 3 paragraphes et conclusion) sur un courant musical que je déflore à peine.
Le jazz avec une guitare électrique, éventuellement des cuivres et surtout une armada de synthés (moog -mini de préférence-, Clavinet et Mellotron pour beurrer le tout, ça peut me tenir de 4 heures.


Et quel hasard, c'est justement l'étang de pêche que fréquente cette bande de lascars américains qui délirent un tantinet (les omniprésentes odeurs de musique mexicaine !) et qui, sur les deux albums que je possède ) sur un total de 3- Flight première époque) s'en donnent à cœur joie dans les impros ou semblants d'impros consommateurs de notes, de gammes en tous genres et de duels cascadesques (sic!) et, il faut bien le dire, parfois un peu lourds à digérer.
Burpp !!!!


Le second album "Incredible Journey" est bien mieux produit que son prédécesseur , lui plus inspiré.
Que reprocher d'autre à Flight ?
Peut-être, des lignes de chants un peu pauvrettes et qui, bien souvent, se contentent de suivre à la note près le jeu des instruments.Le Chant est assuré par Pat Vidas qui tient aussi...la trompette !
Reste que ces musiciens, sans être toujours transcendants, font montre de bien des qualités et pour reprendre à mon compte , la judicieuse remarque de mon patron bloggueur (j'pourrais partir plus tôt, vendredi prochain ?) ont un son assez typique de  ces merveilleuses années où notre insouciance rivalisait avec notre soif de vie.
C'est pas que j'ai trop bu, mais j'me fais plus de soucis !


1 commentaire:

Hard Round Tazieff a dit…

Bon la France a perdu....

Mais il nous reste les "DIABLES ROUGES"!
Non dé diou !

Je me suis laissé à commenter du Jazz Rock, c'est très hermétique comme musique mais il y a des bons instrumentalistes.

Tu peux partir en vacances, je vais tenter de meubler.

My cat listening Steve Vai

My cat listening Steve Vai